Lecture – histoires qui font peur pour halloween
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Histoire de fantôme à la ferme
Histoire qui font peur pour Halloween
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La fille aux cheveux rouges.
Une grand-mère s’appelait Joséphine et vivait dans votre ville. Un soir elle était en train de regarder la télévision, le journal télévisé, et, quand on allait mettre une publicité, quelqu’un frappa à la porte. Une fille d’environ 25 ans était là. Elle dit être perdue et demanda l’hospitalité pour 3 jours. Elle était très polie et serviable. Chaque jour elle sortait pendant la nuit. Le troisième jour, Joséphine regardait la télé comme d’habitude et vit le portrait de la jeune fille au journal. Elle s’était échappée de l’asile. Ce soir là, elle ne trouva pas Chouchou (c’est son petit chien) à ses pieds, elle leva les yeux et vit la fille qui avait un couteau à la main, un couteau dégoulinant de sang. Et c’est ainsi que périt la vieille femme Joséphine avec son chien Chouchou.
La fille est toujours dans les parages donc faites très attention !!!!!
Le livre de votre vie
C’est l’histoire d’un jeune couple qui venait d’aménager dans un vieux manoir sombre. La première nuit, la jeune femme ne se sentait pas rassurée; malgré tout ce que lui disait son mari pour la rassurer, elle n’arrivait pas à dormir. Afin de se changer les idées, elle décida d’aller dans la bibliothèque et de lire un peu. Elle prit un livre au hasard. Il n’y avait que des images.
Sur la 1ere image, elle vit une femme qui lui ressemblait, dans une bibliothèque, avec un livre dans les mains; mais elle n’y fit pas attention.
A la 2ème page, elle vit la même femme mais derrière celle-ci, la porte de la bibliothèque s’ouvrait; elle se retourna, la porte était fermée.
Sur la 3ème page, la porte était grande ouverte et un homme sans visage était entré; elle regarda par dessus son épaule, il n’y avait rien, elle alla fermer la porte à clef.
Elle regarda la dernière page du livre, l’homme était juste derrière elle, le bras levé tenant un couteau…
Le lendemain matin, le mari se réveilla et ne trouva pas son épouse, il l’appela et se décida à aller voir dans la bibliothèque. Il trouva la porte fermée, il frappa mais rien. Inquiété, il enfonça la porte et trouva … sa
femme poignardée…
La vieille dame
Marine était une jeune fille tout ce qu’il y a de plus charmant. Elle était serviable envers tous ceux qui avaient besoin d’elle. Depuis peu, elle aidait une de ses vieilles voisines qui ne pouvait se déplacer facilement. Elle lui faisait ses courses.
Un soir, le 31 octobre pour être plus précis, elle alla chez cette dame pour lui apporter ses courses. Voyant Marine transie de froid la vieille dame l’invita à boire une tasse de thé. Pour la première fois Marine entrait chez cette dame. D’habitude elle allait directement mettre les courses dans un cagibi attenant à la maison.
L’intérieur de la maison était assez triste. Les meubles, vieux et sombres, étaient couverts de poussière ; des chats étaient couchés un peu partout, Marine eut l’impression qu’ils la fixaient du regard. Une odeur âcre flottait dans chaque pièce, l’air était difficilement respirable.
La vieille dame convia Marine à s’asseoir sur un des rares fauteuils non occupé par un chat. La dame partit dans la cuisine faire chauffer de l’eau pour le thé. Marine en profita pour regarder tout autour d’elle. Sur les murs étaient disposés des tableaux sombres représentants des paysages orageux, des gens miséreux. Mais ce qui attira particulièrement l’attention de Marine, c’était toute une série de portraits de jeunes filles de son âge qui avaient l’air terrifiées ou alors d’une extrême tristesse. De tous ces portraits se dégageaient une incroyable douleur.
La vieille revint au salon en portant une théière bouillante. Marine se leva pour l’aider, elle saisit la théière et la posa sur la petite table. La dame la remercia et s’assit. Elle expliqua à Marine que le thé qu’elle avait préparé était à la cerise, que c’était sa défunte fille qui l’avait fait juste avant de mourir l’été dernier. Le thé coula rouge comme du sang. La vieille dame demanda à Marine de lui raconter ce qu’elle faisait de ses journées à part aider les vieilles personnes. Marine commença à raconter qu’elle faisait de la danse, qu’elle chantait mais elle n’eut pas le temps de finir, la vieille dame se leva et expliqua à Marine qu’elle aimait bien prendre en photo les jeunes filles qui venaient l’aider.
Elle attrapa un petit appareil posé sur la commode derrière elle et le déposa à côté de sa tasse. Elle incita Marine à boire son thé alors qu’elle lui parlait de ses petits-enfants qui ne s’occupaient jamais d’elle. Marine porta à ses lèvres la tasse bouillante tout en écoutant les histoires de la dame. Le thé lui glissa dans la gorge.
Elle se mit alors à crier et à recracher son thé. « Mais…mais c’est…du sang ! »
Elle devint alors livide lorsqu’elle vit le regard cruel de la vieille dame. Celle-ci se leva et saisissant l’appareil photo dit d’une petite voix terrifiante : « Enfin tu es à moi pour toujours ! » Elle prit en photo Marine qui s’écroula aussitôt. La vieille dame développa la photo et la mit avec les autres portraits. Elle lui avait volé son âme et l’avait enfermée dans le portrait. La vieille dame prit le corps, l’emmena dans une pièce fermée à côté de sa chambre et l’assit sur une chaise au milieu de tous les autres, elle dit alors d’une voix nasillarde : « à la prochaine » et disparut comme par enchantement.
Des centaines de jeunes filles disparurent ainsi chaque 31 octobre et ce pendant des centaines d’années.
La bague maléfique
Un jour, des jeunes mariés partirent en voyage de noces. Ils étaient sur la route quand soudain ils tombèrent en panne devant un beau château.
Une vieille dame arriva et elle leur dit :
« Venez passer la nuit au château pendant que nous réparerons votre voiture et vous pourrez repartir demain.
Le soir venu, pendant le dîner la jeune mariée remarquai la belle bague que la vielle dame avait au doigt. La jeune fille la trouvait tellement belle qu’elle la voulut.
Donc, pendant la nuit, elle alla dans la chambre de la vieille dame. Celle-ci dormait dans un sommeil profond et n’entendait rien
La jeune fille essaya de lui retirer la bague mais rien à faire elle était coincée.
C’est à ce moment-là que la jeune fille vit un couteau sur la table de chevet de la vieille dame, elle le prit, et coupa le doigt de la dame. La vielle dame ne sentit rien et ne se réveilla pas alors la jeune fille
effrayée partit en courant.
Le lendemain, en partant les jeunes mariés saluèrent tout le monde mais ils ne virent pas la vielle dame.
Quelques jours plus tard dans la soirée la jeune fille était toute seule chez elle en train de regarder la télévision, quand elle entendit un bruit dans le grenier. Tout d’abord elle pensa que c’était les rats mais elle entendit une deuxième fois le bruit. Elle décida de monter.
Arrivée en haut elle inspecta le grenier mais il n’y avait rien.
Mais au moment où elle se retourna elle vit la vielle dame qui disait » je veux mon doigt, je veux mon doigt >>
On ne connaît pas la suite de l’histoire et on n’a jamais plus entendu parler de la jeune fille … on n’a d’ailleurs jamais entendu parler de la vieille dame non plus … mais si un jour vous croisez dans un château une vieille dame avec 6 doigts avec des bagues magnifiques, n’essayez pas de lui couper un doigt pour récupérer une bague … d’ailleurs qui sait si la vieille dame n’a pas aujourd’hui 7, voire 8 doigts ….
Bonsoir halloweeniens.
Voici une histoire horrible, depuis trop longtemps oubliée …
C’était une nuit, pareille à celle-ci, emplie de brumes lourdes et épaisses.
Philippe déambulait dans une rue très sombre, comme chaque nuit d’ailleurs.
Philippe était un sdf (sans domicile fixe) insomniaque très sympathique aimé de tous dans le quartier de Pensilv à Nie.
Mais cette nuit, il ne sentait pas très bien, il avait trop chaud, il étouffait même. Généralement en automne les nuits sont fraîches, mais là… cette chaleur … Il continuait de marcher quand il découvrit un vieux thermomètre sur le rebord d’une fenêtre, il alluma son briquet et resta stupéfait il faisait 35°c !!! En pleine nuit du 31… Lorsque sa pensée fut interrompue par… le sol… il devenait brûlant lui aussi… ses chaussures… ses semelles fondaient… il se retrouva ainsi collé au macadam qui fondait de plus en plus sur une distance énorme et à une vitesse terrifiante…
Puis une sorte de syphon se forma au centre et aspira toute la chaussée jusqu’aux pieds du pauvre Philippe. Une lueur orangée en jaillit, suivie d’une chaleur encore plus intense… Philippe sentait sa peau fondre sur ses joues, ses doigts se transformèrent en gelée noircie, ses yeux coulèrent des orbites, son nez disparu, comme aspiré par le reste du visage… Ensuite, ce fut son corps entier qui se transforma en bouillie humaine enfuie sous un fin amoncellement de vêtements ! ! !
A ce jour, la route a été reconstruite et l’histoire de Philippe oubliée.
Mais, une chose est sûre : il ne faut jamais se promener seul dans les rues la nuit du 31 … aaaarrrggghhhhh
La dame blanche
C’était il y a longtemps, on racontait des histoires sur une certaine dame blanche.
Des chauffeurs auraient aperçu, sur la route, une jeune fille très belle et qui semblait très pâle, presque fantomatique.
Cette jeune fille faisait du pouce pour pouvoir retourner chez elle.
Un chauffeur l’aurait embarquée et lui avait demandé où elle allait. Elle lui donna l’adresse. Alors le chauffeur la conduisit à l’endroit indiqué car lui aussi se rendait dans les alentours du même endroit.
Tout le long du trajet la jeune fille demeurait silencieuse et répondait à peine aux questions que lui posait le chauffeur qui voulait se montrer sympathique. Il ne réussit qu’à savoir son nom; Margaret.
Arrivés enfin à destination le chauffeur se retourna pour dire à la jeune fille qu’ils étaient arrivés mais…elle avait disparu ! Intrigué, le brave homme alla frapper à la porte de la demeure que la jeune fille lui avait indiquée. Une vieille femme à la mine fatiguée répondit et lui demanda, sur un ton brusque, ce qu’il voulait. Il lui demanda si une certaine jeune fille répondant au nom de Margaret vivait ici.
La vieille femme parut effrayée mais répondit: « Oui, il y avait bien une Margaret qui vivait ici il y a bien longtemps. Un jour, alors qu’elle faisait de l’auto-stop sur le bord de la route, un homme l’embarqua et l’assassina. Elle ne put jamais retourner chez elle et depuis ce temps, à chaque année, elle revient, sur le bord de la route et essaie de revenir chez elle afin de connaître le repos éternel ».
La plante de Miranda.
Il y a environ 5 ans, une amie avait reçu une plante provenant d’un pays exotique.
C’était une immense plante verte avec une espèce de grosse bulle dure en-dessous de la fleur orange.
Elle devait mesurer 10 cm de diamètre! Un soir, alors que tout était silencieux dans la maison, elle décida d’arroser sa plante.
Vers onze heures, Miranda (le nom de ma copine) décida d’aller se coucher.
Miranda a un petit problème de sommeil. À chaque fois qu’un bruit se fait entendre, elle se réveille.
C’est ce qui arriva.
Un bruit comparable à celui d’un cri aigu se fit entendre quelques minutes après qu’elle ait fermé la lumière.
Le bruit en question provenait de la cuisine.
Miranda sortit de son lit, enfila ses pantoufles et se rendit à la cuisine.
Plus elle approchait de la cuisine, plus le son était persistant.
La bulle de la plante grouillait.
Miranda sortit un énorme couteau et le pénétra à l’intérieur de la bulle.
Des milliers de petites araignées sortirent de l’enveloppe…
Je peux vous dire que Miranda a payé cher en exterminateur…
HA!!!!!!!!!!!!!
Tic tic tic
C’est l’histoire d’une femme qui a un labrador. Tous les soirs, avant de se coucher, elle caresse la tête de son chien.
Un soir comme tous les soirs elle caresse la tête de son chien et va se coucher.
Là elle entend un bruit : tic tic tic.
Elle va à la cuisine voir si le robinet est bien fermé : oui !
Elle caresse la tête de son chien et va se recoucher.
A nouveau elle entend : tic tic tic.
Elle va à la salle de bains : tout est en ordre.
A nouveau elle caresse son chien et va se coucher.
Encore une fois, elle entend : tic tic tic.
Elle va aux toilettes et là elle voit la tête de son chien accrochée, avec des gouttes de sang qui tombent sur le carrelage en faisant tic, tic, tic.
Elle avait caressé la tête de l’assassin !!!
La fille au bras en or.
C’est un routier, qui un jour, sans le faire exprès renversa une petite fille. Le routier, gêné de savoir que la fille devait se faire amputer, décida de mettre tout son argent pour lui faire mouler un bras en or.
La jeune fille mourut quelques années plus tard et le routier, quant à lui, était ruiné.
Il décida d’aller déterrer la jeune fille et de lui prendre son bras. La nuit qui suivit, le routier alla comme prévu déterrer la jeune fille, lui prit son bras et l’emmena chez lui.
Il alla se coucher et au moment où il ferma les yeux, il entendit : « Rends-moi mon bras, rends-le moiiii ! »
Le routier se réveilla en sursaut et regarda partout pour savoir d’où venait la voix, puis il se recoucha et là il réentendit :
-« Rends-moi mon bras, rends-moi mon bras, rends-le moiiiii! »
Et là le routier décida que le lendemain, à la première heure où il rentrerait, il lui rendrait son bras.
Le lendemain soir après son travail, il alla comme prévu déterrer la fille, il ouvrit le cercueil et là : PAF ! il n’y avait plus personne dans le cercueil…………
Poupée maléfique…
Un 31 octobre, une petite fille et ses parents sont allés dans une boutique de jouets. Elle habitait dans un grand pavillon avec toute sa famille. La petite fille eut un « coup de foudre » pour une poupée habillée tout de blanc avec de longs ongles violets. Elle supplia ses parents de la lui acheter et ils le firent. A la caisse, la dame leur dit d’enfermer la poupée dans un placard. Mais ils oublièrent…et le lendemain matin, en se réveillant, la petite fille découvrit son père en pleurs.
Il lui montra sa mère morte et la petite vit un des ongles de sa poupée sur le corps……et en regardant bien elle vit qu’il en manquait à la poupée achetée la veille. Elle n’essaya pas d’approfondir le sujet.
Mais le lendemain matin son père lui annonça le décès de sa tante…..et sa poupée n’avait plus que 8 ongles.
Elle commença à se méfier. Puis vint la mort de son oncle – puis plus que 7 ongles + le décès de son grand-père – et ce fut ainsi jusqu’à ce qu’il ne reste que 3 ongles (de sa famille ne restait que son cousin, son père et elle) alors elle menaça sa poupée de la jeter au fond de la mer.
La poupée/démon lui répondit d’une voix lugubre : »Si tu fais ça, tu vas voir ce que tu vas voir !! « . La fillette, trop effrayée, ne fit rien d’autre. Mais 2 jours plus tard, son père et son cousin décédèrent. Là, elle n’hésita pas un instant et jeta de toutes ses forces le démon. La nuit qui suivit revint la poupée et tua sa maîtresse. Comme plus personne n’habitait cette maison on mit un panneau écrivant : »Maison à vendre »…
50 ans plus tard, une grande famille voulut s’installer dans le pavillon. Dans cette famille on comptait aussi une petite fille…
Le vampirsortome
Il y a très longtemps, en Ecosse, vivait une petite fille du nom de Laura. Elle vivait dans une petite maison près de la forêt du « Vampirsortôme ». C’était un monstre mi-vampire, mi-sorcière qui poussait des cris de fantôme.
La veille d’Halloween, les parents de Laura lui dirent:
« Laura, nous allons partir en vacances quelques jours à la montagne:tu as treize ans, tu sais te débrouiller toute seule, alors tu garderas la maison avec Michoco ton chien et fais bien attention à toi! Voici un sifflet: il est magique. Si tu as un problème, siffle et nous viendrons. »
Ils l’embrassèrent et partirent.
Le lendemain, Laura joua dehors un bon moment, puis décida d’aller se promener dans la forêt du Vampirsortôme. Elle se dirigea vers la cabane du monstre. Laura s’étonna de voir des animaux morts. Arrivée à la vieille cabane, elle y entra et s’amusa à tout déranger, car elle croyait que la cabane était abandonnée.
Le soir, quand elle fut dans son lit, elle sursauta. La fillette avait entendue gratter à la porte de sa maison. Cela ressemblait à un chat, mais ce quelque chose disait:
« Ouh! Ouh!Tu as dérangé ma maison, tu vas payer pour ça! »
Tout à coup, cela s’arrêta. Laura se rendormit. Pendant la nuit, la petite fille se réveilla:elle avait très peur! Elle entendait quelque chose gratter au pied de son lit. Ce « quelque chose »disait:
« Ouh! Ouh! Tu as dérangé ma maison, tu vas payer pour ça! »
Elle vit deux yeux rouges, puis un nez crochu…Bientôt, la chose apparût entièrement et c’était…le Vampirsortôme! Laura cria: « Michoco! Attaque! »
Dans le ventre du monstre, on entendit un aboiement plaintif:
« Waf!Waf! » Horreur! L’horrible créature avait dévoré le petit chien! La pauvre Laura n’eut pas le temps d’attraper le sifflet magique, car le monstre lui sauta dessus et la dévora!
Maintenant, en Ecosse, des gens racontent que, parfois, la nuit, près de la forêt du Vampirsortôme, on entend : »Tu as dérangé ma maison! »
Puis tout simplement, le bruit s’évanouit.
Marie Blanche.
Lorsque j’étais toute petite, notre école se trouvait à côté d’un cimetière étant donné que cet établissement avait déjà servi de couvent pour les bonnes soeurs et à l’approche de la fête d’Halloween, les enfants ne cessaient de se raconter des histoires effrayantes à propos de ce cimetière pour se divertir un peu tant cette soirée qui approchait à grands pas les excitait. Quelques jours avant cette fête, les plus âgés de l’école commencèrent à parler d’une légende qui était étrangère à toutes celles que l’on avait pu entendre. Intriguées, moi et quelques-unes de mes amies nous décidâmes d’aller interroger celle qui pouvaient nous éclairer sur ce sujet. Durant une de nos récréations, nous allâmes demander à ma soeur aînée de nous parler de cette légende que seuls les plus vieux connaissaient. À ma demande, un frisson lui parcoura le dos et, d’un air grave, elle me répondit:
« Tu veux VRAIMENT connaître la légende de Marie-Blanche? Très bien, je vais te la raconter, mais si je fais cela, c’est pour te mettre en garde. Voilà: À l’époque où notre école n’était qu’un couvent, une jeune femme nommé Marie prononça ses voeux de chasteté à contrecœur car elle espérait, en devenant soeur, échapper aux souffrances que pouvait lui infliger l’amour. Elle avait si peur de tomber en amour et d’être déçue tant elle avait vu de femmes aux cœurs brisés qu’elle offrit son existence à Dieu.
Mais Marie était une très belle femme et un an après avoir prononcer ses voeux, ce qui devait arriver arriva. Elle tomba amoureuse du jeune homme qui s’occupait d’allumer les cierges et de nettoyer ceux-ci à l’aide d’un petit couteau pour récupérer la cire. Leur amour, bien que secret, fut vrai et jamais Marie ne fut déçue. Mais en agissant ainsi, Marie avait désobéi à son devoir de chasteté et lorsqu’elle mourut, elle fut condamnée à hanter les lieux où elle avait vécu et à pleurer son malheur. Depuis ce temps, on dit que, le jour d’anniversaire de sa mort, soit un 27 Octobre, si on se trouve dans une pièce non éclairée et qu’on tient un couteau dans une main et une chandelle allumée dans l’autre devant un miroir et qu’on prononce cent fois le nom « Marie-Blanche », Marie apparaîtra dans le miroir, portant une robe blanche, remplie de tristesse et de douleur. Mais si je te dis tout cela, c’est parce que moi et quelques copines nous avons tenté cette expérience devant le miroir du vestiaire des filles et crois-moi, jamais nous n’avons crié aussi fort en même temps lorsque Marie est apparue dans cette glace. Alors, je te conseille de ne pas en faire autant si tu ne veux pas te trouver en face du vrai visage du désespoir. ».
Sur ce, moi et mes amies, nous décidâmes de faire cette expérience pour en avoir le coeur net. C’est ainsi que nous nous retrouvâmes, le jour du 27 Octobre, dans le vestiaire des filles, moi devant le miroir avec la chandelle et le couteau en mains et mes amies autour de la pièce. Le mot « Marie-Blanche » écrasa le silence cent fois et lorsque que j’eus fini de le prononcer, la plus triste et la plus fantomatique des femmes apparut dans le miroir. Ma peur était si forte que la chandelle et le couteau échappèrent à ma prise et la pièce devint aussi sombre que l’intérieur d’un four. Je n’entendais plus que les cris de mes amies et mon coeur qui battait la chamade. Heureusement, à travers notre frayeur, l’une d’entre nous eut le bon sens d’allumer les lumières et lorsque tout fut clair la panique cessa et nous sortîmes le plus vite possible de la pièce.
Aujourd’hui, je suis à l’Université et je sais que chaque année, un peu avant la fête d’Halloween, pendant que les plus petits se racontent des histoires effrayantes, quelques personnes se rassemblent dans le vestiaire et appellent une jeune femme qui n’aura sans doute jamais le repos éternel. Mais qui sait, peut-être qu’un jour une personne aura le courage qu’il faut pour garder une chandelle allumée pour que Marie-Blanche voie le chemin qui la mènera vers l’éternité à travers la noirceur de son désespoir…
La fille portée disparue.
Conseil:quand vous allez raconter cette histoire, chuchotez et à la fin ( le oui ) dites le fort.
Il était une fois une petite fille qui se promenait dans le bois. Tard le soir, elle vit une maison. Il faisait froid et elle était fatiguée alors elle alla frapper à la porte.
Tout de suite, une vieille grand-mère lui répondit. Quand cette dernière regarda la petite, elle se dit: « Mon dieu qu’elle est pâle et ses yeux ont un reflet rouge, c’est effrayant ». La grand-mère demanda à la fillette si elle avait faim ou soif. La petite fille ne répondit pas et alla s’asseoir dans la maison au bord de la table. La vieille comprit que la réponse était oui, alors elle lui donna un verre de lait et quelques petits biscuits. Ensuite la grand-mère lui demanda si elle voulait bien dormir dans la chambre à l’étage, la petite monta se coucher sans lui répondre encore.
Le lendemain, la vaisselle était faite et le lit aussi. La fille n’était plus là. La dame était quelque peu triste et déçue. La soirée venue, la petite fille revint et fit la même chose que le premier soir:mangea, bu et alla dormir. Le lendemain matin la vaisselle est lavée, et le lit de la chambre à l’étage est fait. La grand-mère est douteuse. Le soir, elle mangea, bu son joli verre de lait et alla dormir. La vieille barra la porte de la chambre où dormait la fillette et elle était sûre de son plan car il n’y avait pas de fenêtre dans cette chambre et la petite ne pourrait pas sortir. Le matin vint et la fille n’était plus là. La dame commençait à avoir peur. Le soir, même chose que les soirs précédents.
La vieille dame barra la porte de nouveau mais elle la surveillait. Encore un matin sans trace de cette fillette. La grand-mère alla prendre un verre de lait et des biscuits mais il n’y en avait plus alors elle alla au magasin pour en acheter d’autres. En prenant la boîte de lait il y était inscrit: « Voici la photo de la fillette portée disparue et morte depuis 300 ans ». La dame se dit que la photo ressemblait beaucoup à la petite fille qui venait toutes les nuits chez elle. En rentrant, la vieille grand-mère demanda à la fille : « P’tite fille, es-tu morte? »
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OUI !
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